Résumé : Durant la saison 5, alors que Jaime arrive à Dorne et revoit Myrcella, il réalise que la petite fille de ses souvenirs a bien grandi...
Genre : Inceste/Familial/Viol
Pairing : Jaime/Myrcella
Rating : MA
Note : Répond aux défis suivants du discord de l'Enfer de Dante :
Le soleil inondait la plaine. Accoudée à la fenêtre de sa chambre, Myrcella Baratheon offrait son visage à ses doux rayons, les yeux mi-clos. Elle aimait la chaleur qu’il lui dispensait et un sourire incurva ses lèvres rosées, dévoilant l’éclat de ses dents parfaites.
Jaime s’immobilisa sur le seuil, subjugué par la vision qui s’offrait à lui. Les longs cheveux de Myrcella paraissaient auréolés d’or tandis que sa robe de soie turquoise épousait ses formes juvéniles. La petite fille de ses souvenirs avait bien grandi et s’était transformée en une jeune femme attirante, aussi désirable que l’était Cersei, voire même plus. Sentant confusément qu’on l’observait, Myrcella se retourna et la joie illumina ses yeux verts en le reconnaissant.
Son père. Son vrai père. La jeune fille savait qu’elle devrait avoir honte de sa consanguinité mais, elle est en était incapable. Depuis toujours elle considérait Jaime et Cersei comme un tout. Ils étaient indissociables l’un de l’autre dans son esprit et elle s’était toujours sentie beaucoup plus proche de Jaime que de Robert Baratheon, même lorsqu’elle croyait encore que ce dernier était son père.
« Entrez », l’encouragea la jeune fille.
Littéralement envouté par Myrcella, Jaime pénétra dans la pièce, refermant la porte derrière lui. Les yeux posés sur la couronne d’or de ses cheveux si semblable à celle de Cersei, il referma sa main valide sur la brosse qui reposait sur la coiffeuse.
« Je peux ? »
Surprise, la jeune fille hocha la tête et Jaime entreprit de démêler ses longs cheveux dorés. Myrcella était si proche qu’il pouvait sentir l’odeur de sa peau, plus suave que celle de Cersei. Plus enivrante aussi.
Désertant la chevelure de la jeune fille, Jaime laissa glisser sa main d’or sur l’épaule de Myrcella et cette dernière se troubla à ce geste.
« Que faites-vous ?
— Tu es tellement belle, souffla Jaime. Si parfaite … Dis-moi, Myrcella, que sais-tu de l’amour ? »
La jeune fille s’empourpra légèrement. Il avait beau être son père, l’idée de lui confier ses sentiments naissants pour Trystan Martell la mettait mal à l’aise.
« Rien bien entendu, se répondit Jaime à lui-même. Comment le pourrais-tu ? L’amour ne se définit pas, ça se ressent, ça se vit. C’est une évidence. »
La main de Jaime glissa le long du bras de Myrcella et elle avala sa salive. Le cœur de la jeune fille rata un battement lorsqu’elle sentit les lèvres de Jaime effleurer son cou et elle se déroba à son étreinte.
« Je ne peux plus respirer, » prétexta-t-elle.
Jaime la suivit des yeux. Myrcella ressemblait à s’y méprendre à Cersei au même âge, avant qu’elle ne devienne une femme dure et méchante. A moins qu’elle ne l’ait toujours été au fond…
« Tu n’es pas comme Cersei, chuchota Jaime. Toi, tu es douce, bonne, aimante… »
Surprise par une telle déclaration, Myrcella l’observa avec incertitude et Jaime interpréta son regard comme un encouragement. De plus en plus excité par la beauté de la jeune fille, il s’approcha d’elle et l’enlaça.
« Je t’aime, » murmura-t-il.
Emue, Myrcella lui sourit.
« Je t’aime aussi, » lui répondit-elle du haut de son innocence.
Jaime frissonna et Myrcella le sentit durcir contre son ventre. Complétement perdue, elle leva les yeux vers lui tandis qu’il glissait ses mains sur la poitrine de la jeune fille dans une caresse qui ne laissait aucun doute quant à ses intentions. Choquée, Myrcella se trouva incapable de faire un mouvement tant la chose lui semblait impossible. Jaime était son père, il ne pouvait pas…
Elle cligna des yeux lorsqu’il la poussa sur le lit, sa main dorée et froide glissant sur la peau tiède de la jeune fille tandis qu’il défaisait sa robe de sa paluche valide. Les yeux agrandis de saisissement, Myrcella sentit les doigts de son père s’insinuer dans son jardin le plus intime et un hoquet étranglé lui échappa lorsqu’il commença à les bouger en elle. De plus en plus excité par cette nouvelle Cersei, Jaime haleta avant de plaquer sa bouche sur celle de Myrcella, sa langue forçant le passage entre les lèvres serrées de la jeune fille.
Totalement engourdie par l’horreur de la situation, et se répétant que tout cela n’était qu’un horrible cauchemar, Myrcella ne bougea pas tandis qu’il désertait sa bouche. Posant un regard passionné sur la jeune fille dont les cheveux étaient éparpillés sur le lit comme ceux de Cersei au même âge, Jaime se débarrassa à la hâte de ses vêtements, exhibant au doux regard de Myrcella sa virilité fièrement dressée.
Cette vision sortit la jeune fille de son apathie et elle tenta vainement de se redresser mais le corps massif de Jaime s’abattit sur elle.
« Je suis désolé, je vais te faire mal, murmura-t-il. Les femmes souffrent toujours la première fois. »
Le cœur de Myrcella s’alourdit alors qu’il se guidait dans son intimité, son sexe gonflé de désir écartant les chairs délicates de la jeune vierge. Un gémissement de douleur lui échappa lorsqu’il se poussa plus profondément en elle, détruisant son innocence.
« Tellement douce, si étroite, » balbutia Jaime avant de l’embrasser de nouveau.
Des larmes roulèrent sur les joues de Myrcella tandis que Jaime allait et venait en elle, son beau visage, si semblable au sien, révulsé par le plaisir et l’imminence de l’orgasme.
« Je vais juter, » souffla-t-il brusquement avant de ressortir d’elle, répandant sa semence sur le ventre nu de la jeune fille.
Son désir assouvi, Jaime se laissa tomber sur le lit et l’attira contre lui. Statufiée par le choc, Myrcella ne protesta pas.
« Je t’aime, souffla Jaime, et plus rien ne nous séparera. Je te le promets. Ni les Martell, ni les ambitions de ta mère. »
De sa main valide, il entrelaça ses doigts à ceux de la jeune fille.
« Toi et moi, pour toujours », jura-t-il.
Le cœur au bord des lèvres tant elle se dégoutait, Myrcella ne réagit pas. Jaime lui adressa l’un de ses fameux sourires qu’elle aimait tant avant cette journée et qui la faisait se sentir spéciale et aimée lorsqu’elle était enfant.
« Je vais m’occuper de tout, ne t’inquiète pas. Nous partirons nous installer loin d’ici, de Westeros et des Sept Couronnes », continua Jaime tout en se levant pour se rhabiller.
Myrcella n’avait toujours pas fait un mouvement ou prononcé une parole lorsqu’il se pencha pour l’embrasser.
« Merci de t’être gardée pour moi, murmura Jaime. Ce fut un instant magnifique, un moment magique. Je n’ai pas de mots pour décrire la joie que tu m’as procurée, ma Myrcella, et je te jure que la prochaine fois, je te rendrais au centuple le plaisir que tu m’as donné. »
Sur ces mots, il sortit.
Une fois seule, Myrcella laissa échapper le cri qu’elle avait été incapable de pousser pendant qu’il la violait. Par son acte et sa concupiscence, Jaime avait détruit à tout jamais son enfance et mis un point final à l’innocence et à la douceur de la jeune fille.
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